En 1977, Nicolas Peyrac enregistre l'album Et la fête est finie. Alors que le chanteur mise sur les Vocalises de Brel, c'est Le vin me saoule qui retient l'attention de la maison de disques et des radios. Malgré ce nouveau succès, de l'aveu même de Peyrac, 1977 est une "année spéciale". Le chanteur perd sa mère. Pour atténuer son chagrin, il s'offre une Bentley, cadeau dérisoire que les journalistes interprètent comme un signe d'arrivisme... Un comble quand on sait que Peyrac n'a même pas son permis! Autre révélation douloureuse: son inexpérience de la scène. Il partage l'affiche avec Marie-Paule Belle et, un soir, avec Julien Clerc: impressionné, il mesure le chemin qu'il lui reste à parcourir pour égaler leurs performances. Il lui faudra encore quelques années avant de parvenir à "se donner" entièrement sur scène. (Source: Fiche "le vin me saoule", Collection "plaisir de chanter", Editions Atlas)
jeudi 24 juillet 2014
le Vin me saoule (1977)
Nicolas Peyrac: le Vin me saoule (1977)
En 1977, Nicolas Peyrac enregistre l'album Et la fête est finie. Alors que le chanteur mise sur les Vocalises de Brel, c'est Le vin me saoule qui retient l'attention de la maison de disques et des radios. Malgré ce nouveau succès, de l'aveu même de Peyrac, 1977 est une "année spéciale". Le chanteur perd sa mère. Pour atténuer son chagrin, il s'offre une Bentley, cadeau dérisoire que les journalistes interprètent comme un signe d'arrivisme... Un comble quand on sait que Peyrac n'a même pas son permis! Autre révélation douloureuse: son inexpérience de la scène. Il partage l'affiche avec Marie-Paule Belle et, un soir, avec Julien Clerc: impressionné, il mesure le chemin qu'il lui reste à parcourir pour égaler leurs performances. Il lui faudra encore quelques années avant de parvenir à "se donner" entièrement sur scène. (Source: Fiche "le vin me saoule", Collection "plaisir de chanter", Editions Atlas)
En 1977, Nicolas Peyrac enregistre l'album Et la fête est finie. Alors que le chanteur mise sur les Vocalises de Brel, c'est Le vin me saoule qui retient l'attention de la maison de disques et des radios. Malgré ce nouveau succès, de l'aveu même de Peyrac, 1977 est une "année spéciale". Le chanteur perd sa mère. Pour atténuer son chagrin, il s'offre une Bentley, cadeau dérisoire que les journalistes interprètent comme un signe d'arrivisme... Un comble quand on sait que Peyrac n'a même pas son permis! Autre révélation douloureuse: son inexpérience de la scène. Il partage l'affiche avec Marie-Paule Belle et, un soir, avec Julien Clerc: impressionné, il mesure le chemin qu'il lui reste à parcourir pour égaler leurs performances. Il lui faudra encore quelques années avant de parvenir à "se donner" entièrement sur scène. (Source: Fiche "le vin me saoule", Collection "plaisir de chanter", Editions Atlas)
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